C'est l'Orléans' connexion. Li-An me disait que Stanislas était fan de Bowie. Mais en fait il a eu un vrai cri de coeur (comment lui en vouloir ?) pour Blondie et Debbie Harry. Ensuite, il a bien essayé de me soudoyer pour traiter Blondie ET les Beach Boys. Devant mon intransigeance, il a tranché et gardé les New-Yorkais. Du coup, Brian Wilson est passé à la trappe.
Publications récentes
L'adaptation du roman d'Oscar Wilde dans la collec Ex-Libris de Delcourt. Ci-dessous un extrait et un effeuillage public...avec au coin de la page un effet flipbook. Le Portrait de Dorian Gray n'est que son deuxième livre, le prochain serait moyen-âgeux.
Son premier livre, également une adaptation, cette fois-ci du Dernier jour d'un condamné, plaidoyer de Hugo contre la peine de mort. Cela aurait pu donner une livre aride... Stanislas lui insuffle vie et tension grâce à d'audacieuses idées graphiques.
L'histoire de son histoire
Bonus Tracks
Elle s'inspire de Parallel Lines, le 3e album de Blondie, et nous emmène dans un univers...parallèle.
Bonus Tracks
Un sujet sur Stanislas qui montre la réalité du métier de dessinateur : glander en terrasse des cafés, occupé à mater les passant(e)s. Une honte - je n'invente rien, regardez !
- Et puis deux planches prises sur le site de Stanislas sur lequel il faut absolument se rendre car il regorge de merveilles telles que celles-ci.
Il a notamment commencé cette série, au moment où il travaillait sur Dorian Gray.
Et la musique, avec "Denis" de Blondie pour une TV allemande en 78, les clip de "Call Me" et "The Hardest Part"...
Et deux clips réalisés par Giger pour Debbie en solo en 1981.
Une question : pourquoi "intransigeance" face aux Beach Boys qui est quand même un des groupes majeurs de l'histoire du rock ?...
RépondreSupprimerEt... euh... les clips de Debbie Harry solo, était-ce bien nécessaire ? Je crois qu'il est préférable pour tout le monde d'oublier cette triste période !
Bon, ok, ça fait deux questions.
Hello Pelisse. Ah non, l'intransigeance c'est sur le fait qu'un auteur ne pouvait pas s'occuper de deux groupes différents, c'était la porte ouverte à la guérilla graphique, à l'anarchie du sommaire.
RépondreSupprimerParce que, of course, les Beach Boys méritent d'être chéris - du moins jusqu'au milieu des seventies. Les merveilles de Pet Sounds, Smile, même Holland, tout ceci est inaltérable comme du Michel Ange. J'ai d'ailleurs serré un jour la main de Brian Wilson et c'est très troublant.
Pour les clips de Debbie Harry, ta question est plus que pertinente vu le coup de vieux eighties qu'ils ont pris. Néanmoins, il y a une raison et tu la trouveras dans le livre.
:) C'est la réponse que j'attendais. Me voilà rassurée.
RépondreSupprimerStanislas serait-il fan de Giger (et/ou d'Alien) ? Bon, d'accord, très bien, je vais patienter jusqu'à la lecture...
J'en ai déjà trop dit...
RépondreSupprimer